1860-01-01

#Alouette2. 

Le nom « Alouette » avait été choisi d'après le nom de l'oiseau, qui est aussi le titre d'une comptine bien connue au Canada.
La théorie canadienne repose sur la traite des fourrures pratiquée par les Français pendant plus de 300 ans en Amérique du Nord. Les canoës étaient utilisés pour transporter des marchandises en échange de fourrures sur des routes commerciales étendues, constituées de lacs, de rivières et de portages interconnectés dans l'arrière-pays du Canada et des États-Unis actuels. Les chants de la traite française des fourrures ont été adaptés pour accompagner le mouvement des pagaies plongées à l'unisson. Le chant permet de passer le temps et de rendre le travail plus léger. En fait, il est probable que les agents de Montréal et les partenaires d'hivernage (précurseurs de la Compagnie du Nord-Ouest) recherchaient et préféraient embaucher des voyageurs qui aimaient chanter et qui étaient doués pour le faire. Ils pensaient que le chant aidait les voyageurs à pagayer plus vite et plus longtemps. Les colons français mangeaient des alouettes cornues, qu'ils considéraient comme du gibier à plumes. "Alouette" informe l'alouette que le chanteur va lui plumer la tête, le bec, les yeux, les ailes et la queue. En roulant ma boule parle d'étangs, de beaux canards et d'un prince à la chasse. Un grand nombre des chansons préférées des voyageurs ont été transmises jusqu'à l'époque actuelle.

"L'Alouette est devenue un symbole du Canada français pour le monde entier, une chanson nationale non officielle[3]. Aujourd'hui, la chanson est utilisée pour enseigner le nom des parties du corps aux enfants francophones et anglophones du Canada, ainsi qu'à ceux qui apprennent le français dans le monde entier. Les chanteurs désignent ou touchent la partie de leur corps qui correspond au mot chanté dans la chanson.