#Isis-1.

Le lendemain du lancement du satellite Isis, Meher Baba, gourou indien, meurt dans la ville à 74 ans. Dans ses derniers gestes, il dit : "N'oubliez pas que je suis Dieu". Il prétend avoir été un avatar du dieu Vishnu.

Le lendemain du lancement du satellite Isis, Meher Baba, gourou indien, meurt dans la ville à 74 ans. Dans ses derniers gestes, il dit : "N'oubliez pas que je suis Dieu". Il prétend avoir été un avatar du dieu Vishnu.

Le 31 janvier 1969, Meher Baba meurt dans sa maison de Meherabad, 25 jours avant son 75e anniversaire. Dans ses derniers gestes, il dit : "N'oubliez pas que je suis Dieu". Avec le temps, ses dévots ont appelé l'anniversaire de sa mort Amartithi (jour sans mort). Le corps de Meher Baba fut placé dans son samadhi à Meherabad, recouvert de roses et refroidi par de la glace. Avant sa mort, Meher Baba avait fait de nombreux préparatifs pour un programme de darshan public qui devait avoir lieu à Poona. Son mandali décide de poursuivre les préparatifs malgré l'absence de l'hôte. Plusieurs milliers de personnes assistèrent à ce "dernier darshan", dont des centaines venues des États-Unis, d'Europe et d'Australie.

Du 10 juillet 1925 jusqu'à sa mort en 1969, Meher Baba est resté silencieux. Il communiquait d'abord à l'aide d'un abécédaire, puis par des gestes uniques de la main qui étaient interprétés et prononcés par l'un de ses mandalias, généralement son disciple Eruch Jessawala. Meher Baba disait que son silence n'était pas un exercice spirituel, mais qu'il était uniquement lié à son travail universel.

L'incapacité de l'homme à vivre les paroles de Dieu fait de l'enseignement de l'Avatar une moquerie. Au lieu de pratiquer la compassion qu'il a enseignée, l'homme a mené des guerres en son nom. Au lieu de vivre l'humilité, la pureté et la vérité de ses paroles, l'homme a cédé à la haine, à la cupidité et à la violence. Parce que l'homme a été sourd aux principes et aux préceptes établis par Dieu dans le passé, dans cette forme avatarique actuelle, j'observe le silence.


De 1925 à 1954, Meher Baba communiquait en pointant des lettres sur un tableau d'alphabet.
Meher Baba signalait souvent le moment "où il allait "rompre" son silence en prononçant le "Verbe" dans chaque cœur, donnant ainsi une impulsion spirituelle à tous les êtres vivants".

À de nombreuses reprises, Meher Baba a promis de rompre son silence par une parole audible avant sa mort, en précisant souvent le moment et le lieu où cela se produirait, mais selon tous les récits contemporains, Meher Baba est resté silencieux jusqu'à sa mort[. Son incapacité à rompre son silence a déçu certains de ses disciples, tandis que d'autres ont considéré ces promesses non tenues comme un test de leur foi. Un certain nombre de ses disciples spéculent que "la parole" sera encore "prononcée" ou que Meher Baba a rompu son silence d'une manière spirituelle plutôt que physique[108].

Pendant de nombreuses années, Baba a demandé à ses disciples d'entreprendre des austérités le 10 juillet, date anniversaire du début de son silence, telles que garder le silence, jeûner et prier. Dans sa dernière demande de Journée du silence à ses disciples en 1968, il leur a seulement demandé de garder le silence. De nombreux disciples continuent de célébrer la Journée du silence en gardant le silence en son honneur.

#Isis-1

La Trimūrti incarne le cycle de manifestation, conservation et dissolution de l'univers dont Brahma est le créateur, Vishnou le protecteur et Shiva (Rudra) le destructeur. Vishnou est connu pour ses nombreux avatars.

Dans le vishnouisme, un avatar (अवतार, avatâra, en sanskrit « descente », au sens de « descente du ciel ») est l'incarnation d'une divinité sur terre, en réponse à un besoin du rétablissement du Dharma.

« Pour la sauvegarde du bien, déclare Krishna dans la Bhagavad-Gîtâ, pour la destruction du mal et pour le rétablissement de la loi éternelle, je m'incarne d'âge en âge. » (IV, 8).