1993-01-01

#Orbcom #OXP-1

Station terrestre de Laurentides, Quebec. Teleglobe Canada s'associe à Orbcomm pour la mise en œuvre du programme de téléphonie satellitaire.

1993-01-01

#OXP-1 #Orbcomm

De nombreux projets de téléphonie mobile s'appuyant sur des constellations en orbite basse similaires sont étudiés : la commission américaine chargée du contrôle des communications, la Federal Communications Commission, reçoit pas moins de 35 demandes d’agrément, dont seules trois entreront en service : Iridium, Globalstar proposé par Loral et Orbcomm proposé par Orbital Science).

1993-01-01

#ORBCOMM, vue d'artiste

En 1990, Orbital a déposé la première demande de licence au monde auprès de la Commission fédérale des communications (FCC) pour l'exploitation d'un réseau de petits engins spatiaux en orbite basse[6] afin de fournir des services mondiaux de messagerie commerciale et de communication de données par satellite dans le cadre du programme ORBCOMM de la société.

Après l'approbation de la CAMR en 1992, ORBCOMM a signé des contrats avec trois développeurs et fabricants de modems : Kyushu Matsushita Electric Company, une division de Panasonic ; Elisra Electronic Systems, une société israélienne spécialisée dans les systèmes de guerre électronique ; et Torrey Science & Technology, une petite société de San Diego entretenant des liens étroits avec Orbital Sciences. Panasonic a fourni le premier MES approuvé par ORBCOMM en mars 1995. Elisra a suivi avec le EL2000 fin 1995, et Torrey Science a fourni le ComCore 200 en avril 1996.